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En plongé, la surface apparaît comme la lumière, un brouhaha
magnétique, l'évident salut du vivant terrestre. Les profondeurs,
sombres, froides, apaisantes, menacent l'aspirant au divin qui
sommeille
en nous.
La lumière sculpturale, où les crêtes luisent sur des creux
obscures, triture-t-elle le même mécanisme ?
"Mystérieux abîme où l'esprit se confond ! à quelques pieds
sous terre un silence profond, Et tant de bruit à la surface !",
V.
HUGO, Feuilles d'aut. IV.
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