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C'est un nouveau tableau assez gai. C'est une palette de "couleurs finales" donc non représentative du plus gros du
travail.
Plus que quelques vers de vase, probablement survivent dans ce biotope
carcéral putride. C'est un aquarium scandaleusement négligé. L'odeur
parvient jusqu'à mon nez délicat. Vite, tartinons une couche de baume
de je ne sais plus quel grand félin à rayures sous nos narines, pour
détruire ce sens plus que superflu à la ville.
Cette vase est pourtant super utile et peut adoucir encore
davantage les couleurs douces. Pas d'immaculé sans gadoue, en
peinture, aujourd'hui, je peux le sentir.
"Inutile envie d'éternuer, avec fourmillement dans la
moitié gauche du nez ; ensuite celle-ci devient humide ; et, après
s'être mouché, la narine droite demeure bouchée ; en même temps un
léger ressentiment de coryza, c'est-à-dire de fourmillement, et de la
cuisson au côté gauche du palais (au bout cinq de heures).
(Gersdorff.)". HAHNEMANN, Traité de matière médicale, (1834).
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